• En butte aux caprices d'un illuminé

    Des intervenants dont j'ai pu mesurer l'envergure de la réflexion, celui qui m'aura  le plus fait comprendre la nécessité de prendre très au sérieux un état mental décadent est Gervais MBOUMBA, écrivain de son état, pourtant incapable de faire montre d'un équilibre intellectuel à même de convaincre. Alors que je lui fais le reproche d'une légèreté qui installe dans la postérité voulue référentielle un certain Okoko, piètre déclamateur d'une théorie héritée des pires moments de l'histoire de l'Humanité, il se livre à une attaque en règle d'un autre lui-même, au point de se demander s'il était parvenu à la compréhension réelle de mon post. Je ne fais aucune mention de ce dont retourne vraiment son profil psychologique, réalité encline à perturber le plus brillant des cliniciens aptes à déterminer ce type de défaillance à l'origine du tourment sévère dont souffre ce cher compatriote. Appréciez plutôt ceci*:

    * Pardon aux non-Congolais qui ne comprendraient pas le contexte de ce qui suit:


    "Ce que je sais ,c’est seulement l’excellentissime phrase larguée par OKOKO je cite : « mêmes les téké veulent commander ce pays-là "



    Voici donc ma réaction:


    Monsieur, vous osez cautionner une pitrerie malsaine dont l'auteur, mû par par la haine exacerbée de l'autre, a plus fait preuve d'incompétence dans son domaine de prédilection qu'il n'est parvenu à émailler son existence politique de compromissions et autres renoncements propres aux esprits frêles qui n'ont de cesse d'écumer l'Histoire de notre pays.


    Honte à vous d'y voir une référence à même de soutenir des thèses aussi douteuses. Le fait d'adouber la condescendance abjecte de ce personnage minable, lorsqu'il parla des Tékés, en des termes qui trahissaient plutôt un lourd complexe à l'égard d'héritiers d'une brillante civilisation, vous confère le triste profil de ce mouton de la mythologie guidé par un instinct échancré, donc ballotté au gré de l'innommable improbable.


    La bêtise de votre alignement sur ce que vous trouvez relever d'une observation lumineuse est d'une gravité telle qu'il vous faudra désormais un sursaut de lucidité pour convenir d'une cure de formatage, destinée à vous débarrasser définitivement de la graine semée, en vous, par ce mentor désobligeant, désormais spectre accablant d'une vocation qui n'aura connu de réelle cristallisation. Et vous n'êtes sans doute guère mieux, à moins d'y renoncer au prix de privations dont je vous recommande la phase cardinale ci-dessus.


    P.S.: Je ne suis pas Téké, pourtant je trouve écœurant que les propos de cet ignoble profil, pas plus que le crédit que vous y accordez, subsistent dans ce qui reste d'esprit chez des simplets qui finissent par en faire une réplique majeure face à la percussion d'un argument déstabilisant.


    Un conseil: lisez Schopenhauer dans L'ART D'AVOIR TOUJOURS RAISON, ce qui vous évitera de tomber de plain-pied dans l'attaque ad hominem, tactique éprouvée d'interlocuteurs à court d'arguments.


    Bien à vous.



    Ce à quoi cet olibrius répond par la déplorable litanie d'innommables insultes pour masquer son incapacité à débattre. Et moi de réagir en ces termes:


    Monsieur MBOUMBA,


    Votre lyrisme est certes touchant, mais il reste porté par une charge sémantique perturbée.

    Ce que vous essayez de déployer laborieusement repose, somme toute, sur une assise friable.

    En toute innocence, vous parvenez à saper ce que vous pensez être un raisonnement, lorsque vous louvoyez et fulminez de façon piteuse. L'insulte compulsive, au cœur de votre mode conceptuel, vous dessert plus qu'elle ne vous offre l'opportunité d'appartenir à la gent sereine dont le propre est de faire montre de sang-froid, la rigueur morale et la probité intellectuelle chevillées au corps, sans compter que cette noble catégorie sait, en temps utile, se distinguer par le souci d'une orthographe saine au service de pensées nobles.

    J'ai bien peur de constater que c'est plutôt vous qui subissez les effets induits des feuilles dont vous me semblez si bien connaître l'incidence sur l'intellect. Il suffit, pour cela, d'observer le rythme heurté de votre syntaxe, l'indigence d'un style qui festoie dans la négligence que lui impose un profil décadent. Peut-être votre objectif était-il de produire un texte sur fond d'esthétique carnavalesque. Raté!

    N'eussiez-vous pas mieux fait de ne point allumer ce feu? Car vous ne disposez pas des moyens de le circonscrire, encore moins d'en entretenir la permanence, dans le dessein de poursuivre l'exercice d'argumentation que vous oppose votre contradicteur.

    Puisque votre étroitesse patente et l'arbitraire de votre réaction ne se prêtent pas à la critique, ni à la contradiction, je ne puis que déplorer ce moralisme caractéristique des sujets instables.

    Attention, Monsieur MBOUMBA, votre formalisme vous perdra.


    Ku dasuk' vé, mwan'ya mam'!*

    * Ne t'emporte pas, fils de Maman, autrement dit "Frère".



    Et ce cher M. M'BOUMBA, fidèle à sa nature, de m'abreuver de davantage d'insultes dont la décence m'interdit, ici, de reproduire la substance. Je prends tout de même la peine de lui répondre ceci et je ne sais s'il en saisit seulement la portée:


    Cher Monsieur MBOUMBA,

    Vous venez de confirmer ce que j’ai tout de suite pensé de vous, à l’issue de la lecture de vos piètres écrits : vous devez être en proie à un délire mystique. Pardon de me préoccuper de votre état mental, signe patent d’une paranoïa destructrice. Lorsque vous vous sentez désarçonné par des propos élevés, mal vous en prend avant de vous sentir, de façon irraisonnée, persécuté. De deux choses, l’une : soit vous théâtralisez le côté schizophrène, à l’origine de l’effroyable scission de votre étrange personnalité et pour ce faire, vous êtes un brillant comédien ;soit il s’agit d’un comportement dont vous n’avez nullement conscience, ce qui, à mon humble avis, doit vous obliger à consulter en psychiatrie.

    Votre enclin, certainement inconscient, à alterner vouvoiements et tutoiements, vous installe définitivement dans le créneau des tourmentés du bocal. Il en est de même au regard de votre propension morbide à l’insulte systématique, chaque fois qu’il vous manque l’argument idoine pour asseoir un raisonnement (encore faut-il apporter la preuve de votre capacité à y parvenir, ce dont je doute désormais) destiné à faire adhérer ou à simplement détruire celui mis en avant par votre débatteur.

    Triste sire, il me tarde de mettre un terme à votre éducation, puisque vous y êtes finalement réfractaire. Vous le devez plus à la tare sévère qui vous ronge l’archéocervelet qu’à vos insuffisances intellectuelles avérées.

    Faites l’effort de vous en affranchir et vous serez un bon gars. Bonne chance !

    P.S. : Soignez votre orthographe. Quant à votre expression, vous y penserez lorsque l’on aura trouvé un remède à votre instabilité.*


    * Je demande pardon à ceux dont j'aurai heurté la sensibilité.



  • Commentaires

    1
    visiteur_GERVAIS MBO
    Dimanche 8 Juin 2008 à 21:38
    j'ai acheté deux bananes, l'une était à peine mûre ,mais dure, sans vouloir en manger parce que immature. le monde est vert, parfois jaune.

    Je laisse le soin aux proprio de s'en régaler.
    Francise avait deux dents perdues. Elle les retrouvera après deux petites heures, son sifflet dormais dans sa bouche, elle ne put s'en rendre compte.

    Seigneur 'Seigneur! Ils sont encore là. Ils y demeureront.


    Patrice avait tout vu, mais n'avait point de temps de dire aux autres....
    Bon! Il y reviendra demain.
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