Bougeons les lignes! Notre salut en dépend.

Jamais façon de faire la politique ne m'avait autant passionné qu'à l'ère du brouillage voulu utilitaire des repères classiques de la démocratie .

J'observe chez les professionnels de la politique un penchant "raffiné" pour la contradiction, peu importe que celle-ci trahisse une inconstance ou la légèreté d'un profil peu à même de constituer une référence en matière d'agrégat d'idées porteuses d'espérance.

Les "salons" de la République, qui abritent souvent les arrangements destinés à apaiser des incompréhensions entre les personnes, grouillent de fieffés courtisans, de calculateurs arrimés à leur carrière et d'amateurs de tous ordres, laissant parfois le peuple pantois.

Ce peuple dont l'entendement est loin d'intégrer les subtilités d'une classe rompue à des combinaisons d'une hauteur telle qu'il lui est difficile de suivre ces gesticulations.

En réaction à Delanoë chez Besson, l’apéro qui fait un petit four chez les socialistes